Aliyah Morgenstern est Professeur de linguistique à l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3. Elle est spécialiste de l'acquisition du langage par l'enfant, qu'elle étudie par le biais d'analyses multimodales de corpus vidéos. Elle travaille en particulier sur le développement de la référence aux personnes (mots, signes, pointages), sur l'expression de la négation et la référence aux temps. Elle supervise la partie française du projet SignMET. | |
Marion Blondel est chercheure en linguistique au CNRS et à l'Université Paris 8. Spécialiste de la Langue des Signes Française et de son acquisition, elle a mené une étude longitudinale portant sur le développement langagier d'une petite fille entendante de parents sourds signeurs (enfant CODA). Elle s'intéresse tout particulièrement aux dimensions prosodiques des langues des signes et multimodales du langage. | |
Caroline Bogliotti est Maître de Conférences à l'Université de Paris Ouest Nanterre La Défense et fait partie du laboratoire MODYCO (CNRS). Ses recherches portent sur les troubles du langage à l'oral et à l'écrit. Elle travaille actuellement à l'élaboration d'outils permettant de rendre compte de l'acquisition de la LSF et de diagnostiquer d'éventuels troubles du langage en langue des signes. | |
Laetitia Puissant-Schontz est orthophoniste en particulier auprès d'enfants et adultes sourds. Elle enseigne également à l'Ecole d'Orthophonie de Poitiers. Elle détient un Master de l'Université de Paris Ouest Nanterre La Défense, dans lequel elle présente un test permettant d'évaluer la compréhension de la morphosyntaxe de la LSF par des enfants âgés de 5 à 7 ans. | |
Saliha Heouaine est assistante de consultation à l'Institut National des Jeunes Sourds de paris. Elle réalise des bilans et conduit des séances de rééducation auprès d'adolescents sourds ayant des difficultés en LSF. Elle travaille en étroite collaboration avec Caroline Bogliotti et Laetitia Puissant-Schontz à l'élaboration d'outils permettant l'évaluation des compétences en LSF. | |
Stéphanie Caët est Maître de Conférences à l'Université de Lille. Ses recherches portent sur le développement de la référence aux personnes chez l'enfant. Elle travaille également sur le développement de la préférence manuelle chez des enfants sourds de 8 à 24 mois. | |
Isabelle Estève est Maître de Conférences à l'Université Stendhal Grenoble 3. Elle s'intéresse aux problématiques liées à l'oralité de l'enfant sourd (vocale et gestuelle, verbale et non verbale) et étudie la manière dont les dimensions langagières et linguistiques de la bimodalité sont impliquées dans le développement des compétences lexicales et narratives des enfants sourds. | |
Fanny Limousin est post-doctorante à l'Université de Georgetown. Dans le cadre de sa thèse, elle a travaillé sur le développement de la référence à soi et à l'interlocuteur chez une enfant sourde-signeuse âgée de 7 mois à 3 ans. | |
Céline Fortuna est étudiante en 2ème année de Master Didactique des langues étrangères à l'université Paris 8. Elle est actuellement stagiaire dans le projet SignMET et participe à la création des tâches ainsi qu'à l'analyse des résultats. |